Cours de percussion afro cubaine à Limoges

Apprendre les rythmes cubains

ne demande pas de prédispositions particulières, simplement de la précision et de musicalité, cette musique se situe au carrefour du jazz et de la musique africaine. Les Rythmes comme la Salsa le Mambo, le Guaguanco, ou le Son Montuno sont l'ame de cuba et par extension toutes celles de la caraibe. Les instruments enseignés sont au choix, les Congas les Bongo les Timbales, ainsi que les petites percussions comme la clave, le guiro, les maracas , la campana etc...

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Cours particuliers de percussion afro-cubaine

La Conga

a son origine en Afrique oû elle était fabriqué à partir d'un tronc évidé totalement et d'une peau cloutée sur une extrémité. Cependant, malgré cette forte parenté les congas n'auraient pas pu être développé sans la fabrication industrielle et les nouveaux matériaux. Dans la caraibe les premieres congas etaient faites avec des tonneaux de vin espagnol. Au fil du temps, les congas ont subi plusieurs changements, tant dans sa constitution que dans la façon de les fabriquer.

Le tambour Makuta, d'origine bantoue, a été identifié comme un ancêtre possible. Un autre ancien nom donné par les indigènes africains à cet instrument était "tahona". Puis il a été appelé «tumba», un mot dérivé de la langue bantoue. Par la suite, nous avons utilisé des noms comme "salidor», «3-2» et «quinto».

A partir des années 40 l'utilisation du mot "Conga" pour désigner les orchestres d'instruments de percussions sont devenus populaires dans le monde, ceci est lié a la popularité des rythmes cubains comme la conga et plus tard dans les années 70, avec l'essor de la Salsa.

A Cuba, dans un premier temps les tambours sont surtout joué par le peuple avant de devenir trés populaires pour l'ensemble de la population cubaine et caraibéenne. Lorsque la rumba est apparu à La Havane. et Matanzas barils initialement joué sur des caisses de morue et de bougies, se sont ensuite transformés en cajones. Par la suite ces instruments de fortune ont été remplacés (au moins partiellement) par des «prototypes» de congas.

Ces types de congas joués dans la première partie du XXeme siecle sont rudimentaire, la tumbadora, été presque similaire à celle présentée aujourd'hui mais c'était encore un tambour très simple, couvert seulement par la peau qui a été attachée à l'embouchure de la conga avec des clous et ont accordé les tambours près du feu parce qu'ils n'y avait pas de systhème de tension de la peau. Les tirants qui servent à accorder les congas sont apparus dans les années 40 cette amélioration étant attribué au musicien Patato Valdes.

Dans les années 40, Candido Camero a ajouté une deuxième percussion à la conga, devenant ainsi le premier percussionniste à jouer sur deux tumbas.

Comment se jouent les congas.

Les congas sont jouées avec les mains. Dans des cas très particuliers, ils peuvent être joués avec des baguettes. Comme dans la plupart des membranophones latino-américains, les peaux sont annimales mais maintenant nous apercevont de plus en plus de peaux de congas synthétiques parce que ces dernieres sont plus résistantes, les sons sont plus facilement disponibles et elles sont beaucoup moins altérée par les changements de température. Cependant, les deux types de patchs ont leurs avantages et inconvénients.

Le joueur de conga peut jouer assis ou debout. Il est d'usage que la conga est présenté par paires sur un trépied, il n'est pas rare de voir maintenant des percussionnistes avec trois, quatre, cinq ou six congas.